Il passe toutes ses journées, à boire de l’alcool bon marché.
Le soir, vautré n’importe où,
Il dort, totalement saoul,
Faisant croire à toutes ces amitiés, qu’il s'est honnêtement fatigué.
Même si tu as rangé tous les cadavres,
On est pas dupe, ton haleine ravageuse de trahi.
Une tonne de chewing-gum n’aura pas suffit.
Et ton teint n’en reste pas moins blafard…
Malgré les preuves les plus évidentes,
Tu as continué à nier en bloc.
Nos remarques n’étaient pas méchantes,
On voulait pas que tu débloques.
On voulait seulement d’aider,
On doit ce faire à ce constant étrange,
Dans ton doux monde, on te dérange.
Tu ne nous écoutes pas parler.
Continu bonhomme, continu à te défoncer,
Jusqu’au jour où l’abus te fera crever.
Je ne serais pas là pour te pleurer,
Même si je t’ai toujours aimé…
Car, que tu le nies, ou que tu refuses de le voire,
En noyant seul ton sinistre espoir,
Se n’est pas que toi que tu rends malheureux,
C’est tous ceux qui te voudraient heureux…